Tomoharu s’inquiète pour l’avenir de Misao et refuse systématiquement d’utiliser son Kurogane, depuis leur dernière bataille. Alors que tout semble revenir à la normal, la petite troupe tombe sur des vestiges, enfouis sous l’école et qui seraient les ruines de Rakuroa, le premier monde.
Il existe une légende comme quoi, certaines saisons 2 réussissent à faire oublier les premières saisons, par leur qualité. Et bien ce n’est plus une légende. Asura Cryin 2 y parvient à l’aise et…. Bon, je déconne évidemment.
Cette deuxième saison est exactement dans la même lignée, pour le meilleur (s’il existe) comme pour le pire (bien plus facile à trouver). J’avoue toutefois que le début m’avait plutôt plu mais très vite, l’anime retombe dans ses travers et n’en sort jamais, comme par exemple des explications compliquées et faussement philosophiques, ou encore des personnages complètement non-charismatiques. La fin est d’une banalité à faire peur, comme si ces séries B ne pouvaient faire autrement que de nous pondre des fins bateaux et idiotes, sans saveur.
On apprend un peu plus sur l’origine de ses machines bizarres et sur l’origine des pouvoirs de Natsume, ainsi que sur le fait que Misao soit un fantôme (bien que ca ne soit pas spécialement clair). Mais au moins, une troisième saison ne semble pas à l’ordre du jour et c’est tant mieux. Les relations entre les personnages évoluent bien mais comment se réjouir de relations d’une bande de limaces? Et oui, ils ont toujours autant de classe que des moules à marée hautes mais au moins, on a pas de surprise car on le savait déjà. Il n’y a vraiment aucun changement de ce côté donc n’attendez pas de miracle.
Le design est identique, tout comme l’insipidité des musiques. C’est coloré, parfois débile, bref, rien de nouveau non plus, juste du vieux et du mauvaise à ce niveau.
Bref, une saison aussi mauvaise que la première. Si vous voulez absolument des réponses, c’est pour vous. Si vous espérez un miracle, passez votre chemin, y a rien à voir.