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Narquin N1

Publié le 29 janvier 2010 par Jeanyvessecheresse

roselyne_bachelot_reference.jpgAlors que l’on annonçait le week end dernier la fermeture des centres de vaccination contre la grippe A, je recevais enfin ce foutu bon accompagné de la missive de celle qui aurait dorénavant intérêt à se faire appeler Roselyne Narquin histoire de se faire oublier. Adieu « Pandemrix », « Humenza », « Panenza », « Focetria », « celtura » ou « Celvapan » destinés en une seule injection à estourbir A-H1N1. Je me souviens que fin août, lors de la pré-rentrée des enseignants, le ministère avait pris grand soin de nous expliquer, entre autre, comment il convenait d’éternuer dans son coude. Tout l’automne, Madame Narquin s’était magnifiquement mise en scène espérant probablement que grâce à H1N1 l’occasion de passer la sur-multipliée était enfin arrivée et que sa carrière était à la relance. Depuis quelques semaines nous ne voyons plus malheureusement le sourire éclatant de Madame Narquin à la télévision. Cela fait un bail que Claire Chazal et David Pujadas ne nous annoncent plus notre mort quotidien. On nous explique qu’il ne faut pas être trop dur avec Madame Narquin. Pour nous en convaincre on nous demande si d’autres auraient mieux fait à sa place dans la même situation. Bien sûr que non ! Au hasard, prenons la gauche. Il est clair que si les socialos-écolos-communistes avaient été aux affaires, j’aurais reçu mon bon d’ici cinq ou six mois, juste le temps pour me rendre parmi les premiers dans les centres de vaccination qui auraient été opérationnels au 15 août 2010. Côté nombre de morts n’en parlons même pas et quant au coût global il aurait explosé au point très probablement d’atteindre des sommes pharaoniques. En vérité ce pays peut aujourd’hui se féliciter de s’être doté d’un président qui a eu la lumineuse idée de nommer Madame Narquin aux Sports…


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