Au delà du “Gorille” et “Hécatombe” de ses débuts aux “Copains d’abord” et aux “Passantes”, puis ses dernières chansons, il n’y a chez G. Brassens quasiment que des classiques, du moins pour ceux de ma génération.
J’ai choisi aujourd’hui deux morceaux que j’apprécie particulièrement, sans bien savoir exactement pourquoi d’ailleurs, “Le bistro”:
Et “Bonhomme”:
Enfin, pour changer un peu, je vous laisse sur cette maxime qui, je crois, est de Pierre Dac: “Si tous ceux qui croient avoir raison n’avaient pas tort, la vérité ne serait pas loin”. Bon dimanche.
- Clearstream. Le sage point de vue de R. Badinter. Le Monde.
- Mélange des genres. Blog de P. Jorion.