Depuis hier et la découverte de cette nouvelle interprétation, cette sarabande m’habite.
J’ai essayé d’écrire la plénitude de leur beauté, le bonheur, la jouissance que ces suites me procuraient - Bach est pour moi au-delà de tout et tous, et j’ai un passé lointain de mauvais violoncelliste - mais je ne trouve pas les mots pour tout dire.
Alors le mieux est d’écouter.
[Ce billet est accompagné de musique, allez l\\\'écouter sur mon blog]
Bach, Suite pour Violoncelle No. 5 en ut mineur, BWV 1011, IV. Sarabande
Jean-Guihen Queyras