Sous la plume de Frédéric Lelièvre, le Temps estime que laisser tomber la banque et la laisser faire face au marasme qu’elle a elle-même créé serait « une décision populiste, une erreur« . Le chroniqueur ajoute même en guise de titre « qu’il est temps de transformer l’essai« .
Et donc de mouiller encore une fois la Suisse politique et le contribuable. Les clients continuent de fuir à coups de dizaines de milliards : la confiance est rompue et ne reviendra jamais dans une UBS aux formes et comportements actuels.
Le seul essai à transformer consiste donc à obliger la banque à se transforme elle-même en un certain nombre d’entités à la taille acceptable. Mais une fois seulement qu’elle aura payé les dégâts portés à la place financière suisse et au pays tout entier, et réglé son contentieux avec les USA.
Ce n’est pas de la responsabilité du contribuable helvétique si le Conseil fédéral s’est laissé prendre les doigts dans l’engrenage avec une naïveté plus que coupable.
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UBS est nuisible
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