C'est maintenant très clair : l'AC Milan a besoin de la vitesse, de la fraicheur et de l'imprévisibilité d'Alexandre Pato pour secouer l'équipe. Milan n'arrive plus à gagner et surtout ne sait plus marquer : un seul but (d'Ambrosini) lors des quatre derniers matches alors que lors des trois précédents, il y avait eu douze buts. Il était une fois le 4-2-fantaisie, maintenant c'est le 4-2-maladie. C'est vrai que la malchance s'y est mise aussi mais les vraies occasions de buts des Rossoneri se comptent sur les doigt de la main.
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C'est maintenant très clair : l'AC Milan a besoin de la vitesse, de la fraicheur et de l'imprévisibilité d'Alexandre Pato pour secouer l'équipe. Milan n'arrive plus à gagner et surtout ne sait plus marquer : un seul but (d'Ambrosini) lors des quatre derniers matches alors que lors des trois précédents, il y avait eu douze buts. Il était une fois le 4-2-fantaisie, maintenant c'est le 4-2-maladie. C'est vrai que la malchance s'y est mise aussi mais les vraies occasions de buts des Rossoneri se comptent sur les doigt de la main.
