Les fenêtres Tryba réduisent jusqu'à 30% la facture de chauffage

Leader sur le marché de la rénovation des fenêtres, portes et volets, Tryba est aussi le seul fabricant français intégrant sa propre unité de fabrication de double vitrage, certifiée Cekal. Le client en bénéficie, pour son confort thermique et les économies réalisées sur sa facture de chauffage.
Tryba a toujours privilégié la qualité et l'innovation. Dans son unité de production de Gundershoffen (Bas-Rhin), un laboratoire de tests contrôle différents points sur les fenêtres afin que résistance thermique et étanchéité optimales soient garanties.
Avant d'être commercialisé, chaque système "Trybatherm" est soumis à rude épreuve. Il doit être capable de résister par exemple à des rafales de vent de 195 km/h pendant 60 minutes d'affilée ou à une projection d'eau intensive de 120 l/m².
Les ouvertures de la maison représentent à elles seules 25 à 30% des déperditions thermiques. Une fenêtre vétuste laisse en effet pénétrer le froid, les courants d'air et l'eau.
À l'inverse, équipées de vitrages thermiques renforcés, les fenêtres Trybatherm évitent l'effet de serre l'été et protègent du froid l'hiver tout en réduisant de 30% la facture de chauffage.
Les fenêtres Tryba se déclinent en deux niveaux croissants d'isolation thermique : la gamme Isol'2 qui comporte une couche thermo-isolante et la gamme Isol'3 où le double vitrage est traité à l'argon, un gaz rare au pouvoir isolant.
Indépendamment de l'aspect financier, équiper sa maison avec des fenêtres Tryba à isolation renforcée contribue à préserver l'environnement.
En effet, chaque kg de fuel dégage 3,8 kg de dioxyde de carbone, 4 g de dioxyde de soufre et 2 g de dioxyde d'azote. Une maison individuelle de taille moyenne qui serait équipée de fenêtres Tryba préserverait l'environnement d'une émission de 2 tonnes de dioxyde de carbone et autres gaz polluants par an. Rapporté à l'échelle de la France, l'utilisation systématique de ce type de fenêtre représenterait un potentiel d'économie d'énergie annuel de 6 millions de tonnes de fuel, ce qui représente une réduction des émissions de 9 millions de tonnes de CO2.

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