Cher Luigi. Pendant que notre petit frère Vilmo s’amuse en Nouvelle Ziland, moi je suis à Venise à me la couler douce en matant des connards habillés en 18eme siècle et bouffer de la mozzarella et mortadella.Venise c’est plein de flotte et pas de poiscailles à faire chier. Que les morts du marché à qui je fais sans succès du bouche à bouche.Ca amuse les touristes et je touche du pèze du Sindicato d’inzziativo. Faut bien survivre. C’est la crise.
Dear Luigi. While our little brother Vilmo is having a ball in NZ, i’m in Venezia doing nothing but watching all these weird people wearing 18th century costumes and eating mozzarella and mortadella. Venezia is full of water all over the place but no fish to bother; only the dead ones in the fish market , i tried unsuccessfuly to revive them with the mouth-to-mouth resuscitation technique. It amused the tourists and i got money from the tourism office. We have to survive. It’s the crisis.