Régionales 2010, mon agenda

Journal de campagne
J'étais toute la journée de jeudi à Creil avec Maxime Gremetz  (voir ci-dessous).

Vendredi je suis allé à Méru sur le marché où j'ai rencontré la population avec Maxime et une douzaine de militants communistes puis devant l'entreprise Faurecia où nous avons dialogué avec des salariés de cette importante entreprise équipementier de l'automobile. Le soir avec les amis on s'est tous retrouvé au restaurant à Creil pour un repas couscous durant lequel Maxime a pris la parole. 

Samedi invité par Mohamad Fakallah, notre troisème de liste, j'étais avec nos amis de Clermont  sur le marché où j'ai revu des militants communistes, Michel et Arsène qui ont décidé de nous rejoindre, Maxime nous a accompagnés également. Dans l'après midi j'ai participé à une conférence de presse dont le Courrier Picard a rendu compte.

Ce lundi je me suis rendu au marché de Beauvais au quartier Argentine, où j'ai rencontré Ahmed et Jean-François, deux Beauvaisiens qui ne sont pas au PCF mais qui nous soutiennent. Avec 6 militants de "Colère et espoir" nous avons dialogué avec les clients du marché. Partout lors de toutes ces initiatives, un très bon accueil et en même temps l'expression d'une profonde colère voire d'une exaspération face au sentiment d'impuissance que ressent nombre de nos concitoyens. Cependant l'action et l'image de Maxime Gremetz sont en général connues et appréciées. La tenacité, le respect des engagements, la révolte contre les injustices sont les qualités qui lui sont attribuées. Il reste à convaincre les gens de la pertinence de notre projet et cela est en général assez simple lorsque je leur fais la démonstration que l'argent public doit aller aux entreprises qui créent des emplois et non qui en détruisent et surtout pas aux multinationales qui délocalisent. Convaincante aussi notre visée stratégique avec le 3ème aéroport international dans le contexte des infrastructures picardes  de pointe que nous avons avec le TGV et le canal Seine - Nord en perspective. Plusieurs personnes qui étaient réticentes à priori  à dialoguer sont reparties toutefois très interessées par nos propositions.