Mon mea-culpa !

Mon mea-culpa !
Je me suis lancé dans l’écriture il y a maintenant exactement deux ans, je vais donc, à cette occasion vous faire une confidence. Il faut savoir que... avant toute publication de mes textes, et pour préserver la sensibilité de mes lecteurs, je dois au préalable les donner à corriger. En effet, si vous trouvez que mes textes contiennent des fautes d’orthographe, dites-vous bien que vous avez échappé au pire avec la version originale. C’est simple, mis à part mon prénom que j’ai appris à écrire correctement à l’âge de onze ans… oui je pensais que Malik c’était avec un C, Malic… enfin bref, mis à part mon prénom donc, je ne peux être sûr de l’orthographe d’aucun autre mot. Mais d’où me vient alors cette orthographe exécrable ? Devrais-je mettre ça sur le dos de mon professeur de français au primaire qui, au lieu de nous donner des cours corrects, était plus occupé à se limer les ongles des pieds ? Ou alors sur le dos de mes parents qui au lieu de me faire dictée sur dictée nous donnaient raclée sur raclée ? Ou tout simplement sur le système tout entier, de Boumedienne en passant par Chadlie et pour finir sur Boutef.... (finir sur....métaphore bien sûr) ! Eh bien moi je dirais tout le monde à la fois voilà, pas de jaloux ! Hors de question que j’endosse la responsabilité de mes échecs tout seul. À moins que je ne prétexte une dyslexie… non, après j’aurais l’air d’un demeuré, et la pitié c’est encore pire. Mais attention, j’insiste sur le fait que les erreurs d’orthographe sont seules à être retouchées ! je revendique la paternité de toutes les conneries que j’ai pu cracher dans près de 100 billets depuis deux ans. Enfin bref, je voulais profiter aussi de l’occasion pour rendre hommage aux correcteurs qui doivent se farcir mes prouesses et mes tournures… Que dis-je ! Mes acrobaties de phrase. Merci à vous jeunes gens de rendre plus présentable ce qui ne l’est toujours pas une fois corrigé, et puis à vous autres tout simplement de les lire.