Quelle douceur c’était,
Ces amours qui naissaient
Aux tournants du sommeil.
Mais les bêtes veillaient,
Regardaient et prenaient.
(Guillevic)
Quelle douceur c’était,
Ces amours qui naissaient
Aux tournants du sommeil.
Mais les bêtes veillaient,
Regardaient et prenaient.
(Guillevic)