L'étude a révélé que le répondant type affecterait environ un tiers du montant (336 $) au remboursement de sa dette et, dans une proportion égale (33 %), déposerait 196 $ dans un compte d'épargne ou investirait 129 $ dans des placements.
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Bien que des répondants de toutes les régions du pays aient indiqué qu'ils consacreraient la plus grande partie de leur remboursement d'impôt au paiement de leur dette, il existe certaines différences régionales en ce qui a trait aux priorités accordées à l'épargne et aux placements :
- les résidents des Prairies et de la Colombie-Britannique pensent qu'il est plus important d'affecter une partie de leur remboursement d'impôt à l'épargne plutôt que de l'investir (262 $ contre 88 $ dans les Prairies, et 250 $ contre 138 $ en Colombie-Britannique);
- en Ontario, l'épargne et les placements se retrouvent pratiquement à égalité (164 $ sont affectés à l'épargne et 149 $ aux placements);
- les investisseurs québécois préfèrent quant à eux réserver une partie de leur remboursement pour les vacances (124 $) ou pour rénover leur résidence (111 $).
(NDLR : Il est intéressant de noter que les Canadiens épargnent alors que les Québécois se paient des vacances.)