L’Espagne elle-même a été surprise par le niveau des bleus. Et la presse n’a pas oublié de nous massacrer. Pour El Mundo « il suffisait de se lever de son siège pour faire peur aux coqs ». Pour Marca, nous sommes « aussi pouris q’une fruite périmé », pour As « Diarra et Toulalan son aussi inutiles qu’un cendrier sur une moto » et Henry « aussi prévisible que Cantona sur un plateau de cinéma ».
Autant en 2006 le Vamos a jubilar a Zidane était un peu fort, autant là, rien à dire, tout est juste.