Il y a déjà quelques semaines je déballais pour vous le jeu Legendary. Voici maintenant mes premières impressions sur ce jeu: après une petite cinématique qui ne nous en dit pas long sur le scénario, nous nous retrouvons dans la peau du Héros Charles Deckard, qui vient d’ouvrir «malencontreusement» la boîte de Pandore, libérant alors d’affreuses bêtes mythologiques semant à leur tour le chaos dans la ville. Première chose étrange que j’ai pu remarquer, le héros vole l’œuvre d’art en plein jour ! Il faut réussir à sortir du musée sain et sauf, et la boîte de Pandore doit sans doute peser une cinquantaine de kilos. En admettant qu’il eût réussi à la voler, il aurait eu du mal à sortir. Dès lors j’ai appréhendé le scénario, il s’ajoute à cela que les voix françaises sont plutôt (très) désagréables, on aurait préféré les voix originales avec des sous-titres.
Niveau gameplay, rien de novateur, il s’agit de sprinter, viser, tirer. La jouabilité est plutôt correcte, la visée est tout à fait bonne, mais le héros à un pouvoir «l’animus vitae» (nous y reviendrons dans le test final) et pour absorber des hordes de puissances issues des montres ou d’on ne sait où, il faut maintenir le triangle pendant un certain temps et cela devient lassant et répétitif. Tout aussi répétitif le scénario. Il s’agit de tuer de plusieurs fois des montres qui apparaissent devant nous au même endroit, dans une même zone, puis d’avancer.
En plus de cela les graphismes n’arrangent pas le tout avec des monstres parfois horribles (je vois… le minotaure) et un décor plutôt mal arrangé.
Si on cherche la petite bête on peut aussi dire que certaines bêtes ne sont pas du tout mythologiques mais après tout, ce n’est qu’un jeu !
Mais n’en disons pas un plus avant le test final, première impression négative d’autant plus que ce n’est pas mon type de jeu. Il faudra attendre le test final pour pouvoir juger objectivement ce jeu car les premières minutes ne sont peut-être pas fidèles au jeu dans son ensemble. En espérant que le jeu ne soit pas aussi chaotique que son univers.
Pandoux.