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La page est blanche,le liquide buvable,Mais la cannette glisse et j'y pense soudain,Que de la rattraper ,d'écouter ces silences,Enfin tous ces faux bruits dont on n'accorde sens;J'ai pris une cigarette et me force à fumer,Je n'en ai pas envie , c'est comme un pied de nez,Quelques minutes encore je songe à l'allumer,Je pleure ses silences et cette cruauté!Mais une odeur forte me rappelle à la vie,Quand le chat qui défèque , moi au dessus de lui,La table d'écriture à un mètre au dessus,Je me sens vraiment seul et je tire dessus,Dessus ma pauvreté d'images insouciantes,Toujours à pleurer d'états de connivence,Et jamais un sourire ne caresse ma joue,Dangereux corps corps que l'acide dissout!C'est ma vie dont je parle et je le dis ainsi,La pauvreté de l'ame n'est pas un faux d'esprit;Elle n'est point venue, je crois qu'elle m'abandonne,Vissée sur sa télé de chats qui tourbillonnent,Quelques instants pour moi purs de solitudemais de télephoner, la cool attitude!