D’où ton langage tire-t-il
sa voix, sa couleur, son écume?
D’où ta voix tire-t-elle
son métal, son bleu, son rêve?
De ton amour, mon amour.
(Jacques Izoard)
D’où ton langage tire-t-il
sa voix, sa couleur, son écume?
D’où ta voix tire-t-elle
son métal, son bleu, son rêve?
De ton amour, mon amour.
(Jacques Izoard)