Circulation périphérique
Voyager
De tout temps, l’humain, qui est curieux de nature, n’a eu de cesse de repousser les limites de ses connaissances. Au fur et à mesure de ses progrès technologiques, l’homme a décuplé ses moyens et ses possibilités de voyager.
Ses motivations qui au départ étaient purement vitales, se sont petit à petit transformées en défit commercial, en soif de gloire ou en besoin de distractions et de loisirs.
L’humain a donc commencé par agrandir son terrain de chasse, étendre son empire, découvrir de nouvelles terres, ouvrir des comptoirs, imposer sa puissance, partager ses connaissances, créer des échanges commerciaux…
Bref, voyager n’est plus un problème ! Technique du moins ! Car depuis plusieurs années on prend petit à petit conscience du résultat négatif des transports dans la nature.
L’aberrance des transports
Aujourd’hui donc, il arrive qu’on parcourt parfois 80 km, voire plus, en voiture par jour pour se rendre à son travail.
Prendre l’avion pour une réunion à quelques milliers de kilomètres est chose courante pour les hommes d’affaires.
On en voit même qui prenne leur voiture pour parcourir 150 mètres, entre la boulangerie et l’épicerie.
Une voiture avec un occupant consomme sensiblement la même quantité de carburant qu’avec deux ou trois occupants. Or on s’aperçoit que la plupart du temps les chauffeurs sont seuls à leur volant.
à suivre...
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