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Bayonetta: sexy killer girl

Publié le 14 mars 2010 par Jibouille

L’histoire suit la trajectoire de Bayonetta, une femme séduisante, au caractère bien trempé et dotée de pouvoirs magiques. Vingt ans plus tôt, elle s’était réveillée dans un cercueil immergé au fond d’un lac. Celui-ci avait été découvert par le père de Luka, un journaliste à la poursuite de Bayonetta. Incapable de se souvenir de son passé, cette femme sexy aux pouvoirs de sorcière continue de mener un combat contre les anges, bien que les raisons lui restent floues. Guidée par de vagues souvenirs, elle gagne la ville européenne de Vigrid pour tenter de comprendre son passé.

Bayonetta: sexy killer girl

Jeu dont on parle beaucoup ces derniers temps alors est-ce qu’il mérite ses critiques élogieuses?

Je dirai que oui, même si le jeu n’est pas exempt de défauts. Le scénario par exemple est un peu plat et on s’attend facilement à plus de profondeur pour un jeu de cette envergure. Ca tient la route mais franchement, ca passe au second plan, loin derrière l’attitude provocatrice de Bayonetta. Sinon, il faut une bonne dizaine d’heures pour terminer le jeu, ce qui est très correct et suffisant je pense.

En effet, la jeune femme sait se battre et nous divertir en même temps ^^ par contre, je conçois que ca puisse déplaire à certains car c’est parfois limite. Ca ne m’a pas vraiment dérangé et ca m’a plus amusé que choqué. Disons que c’est dans l’esprit du jeu.

Le gameplay est sympa et facile à prendre en main, après quelques secondes. Les attaques sont un peu répétitives, notamment quand on affronte le même type d’adversaires (plutot bien fait d’ailleurs). A la fin, ca devient presque lassant, même si on a la possibilité de ramasser des armes en chemin. La caméra est parfois capricieuse mais rien de bine méchant. Les fans de Devil May Cry devraient y trouver leur compte. D’autant plus que certains chapitre change complètement (course à moto, en missile,…), bref, assez sympa.

Bayonetta est un jeu très sympa mais faut aimer le style. Y a moyen de triper mais si on aime pas, c’est mort.


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