Le discours, qui sent bon la panique, porté par l’UMP après sa claque du premier tour nous indique précisément la conduite à suivre lors du second tour.
Voter et faire barrage à l’élection du moindre président de région UMP. La montée au front de l’ensemble des ministres et du premier d’entre-deux contredit l’analyse sous forme de déni de Sarkozy et Fillon.
La moindre victoire dans l’une des régions sera utilisée comme soutien à la contre-révolution Sarkozienne. De même un taux d’abstention important sera instrumentalisé.
Chaque citoyen est ainsi confronté à sa responsabilité : « Qui ne dit rien consent » , approuve le démantèlement de la société construite à la sortie de la guerre contre la barbarie nazie.
Le 22 mars, il sera temps alors, ce rapport de force établi, de mettre sous pression la gauche « de gouvernement », la gauche molle qui s’est tant compromise avec la politique néolibérale.
éé
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Jeu de briques
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Pacman
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