Joëlle milquet couvre ses chômeurs atypiques

JOËLLE MILQUET COUVRE SES CHÔMEURS ATYPIQUES !

TOUT N'EST QUE VENT DANS CES PROPOSITIONS SUR LE CHÔMAGE, INCAPABLE DE CRÉER DES EMPLOIS DURABLES, MAINTENANT EN MÉDICALISANTS  EN SOUS-CATÉGORIE CERTAINS CHÔMEURS, EN GAGNANT PLUS DE TEMPS POUR D'AUTRES POUR  ÉLUDER LES CONTRÔLES (LAISSONS- LES AU CHÔMAGE, IL N'Y A PAS D'EMPLOI ET LAISSONS LES TRAVAILLEURS SEULEMENT  TRAVAILLER POUR COTISER POUR CEUX QUI NE TRAVAILLERONT JAMAIS, LA MEILLEURE MANIÈRE D'ENTRETENIR LE CHÔMAGE SYSTÉMIQUE ET POURSUIVRE L'ENDETTEMENT PUBLIC... !)

NON, MADAME MILQUET VOUS ÊTES TOUJOURS DANS L'ERREUR, LA MAJORITÉ DES CHÔMEURS EMPLOYABLES N'ONT PAS DE PROBLÈMES MÉDICAUX NI PSYCHIQUES POUR ÊTRE SOUSTRAIT DU CONTRÔLE DU CHÔMAGE... !

Pourquoi Joëlle Milquet veut assouplir les contrôle du chômage en évoquant la crise d'une année et demi et un dispositif de contrôle de la disponibilité des chômeurs datant de 2004 alors que l'emploi manque depuis bien plus longtemps, forcément lié à la démographie de l'immigration en pleine évolution et qui n'a jamais été justifiée ni appelée objectivement en fonction d'un ratio de développement économique et d'emplois disponibles ?

Les dispositifs d'activation et d'accompagnement des chômeurs sans moyens d'encadrement performant pour les acteurs régionaux au placement et des formations insuffisantes (dont l'Onem alloue 1.500.000 allocations de chômage par an), ne sont que mascarade organisée avec les syndicats pour consentir des indemnités de chômage illimitées à des non travailleurs exclus à la source de l'emploi stratégique et nécessaire au sein des entreprises.

Inutile de dire que l'opposition libérale représentée par le chef de groupe MR Daniel Bacquelaine, le Sp.a, la N-VA, ECOLO et une partie de la majorité parlementaire CD&V et l'Open Vld, nombreux sont ceux qui ont du mal à suivre les intentions de la CDH JoëlleMilquet, ministre fédérale de l'Emploi, sur l'application de ses dernières propositions de changement de statut du contrôle des chômeurs, en tout cas différent de celui connu jusqu'à présent par le gouvernement : une initiative toute personnelle de la ministre de l'emploi qui saisit l'occasion de tenter de se démarquer électoralement en chassant honteusement des voix électorales pour son parti (il y a déjà eu le cas de la députée bruxelloise voilée "attrape-voix "à la solde de la communauté turque)en tentant d'assouplir les contrôles pour certaines catégories de personnes éloignées du marché de l'emploi, surtout les chômeurs appartenant aux communautés immigrées d'origine, c'est dire le nombre le plus important du chômage de longue durée, public cible du chômage malheureusement le plus discriminé dans la population bruxelloise, car inemployable selon les critères des employeurs !

La ministre de l'Emploi Joëlle Milquet(CDH) improvise au parlement ses nouvelles propositions en correction du plan d'activation ou d'accompagnement des chômeurs dont le dispositif de contrôle de l'Onem se montrerait trop contraignant pour certains chômeurs, sortir des files du chômage les inadaptés à l'emploi, les non-orientables ou en incapacité de socialisation ( y compris les musulmanes portant le foulards qui ne seront jamais engagées)et comme elle le prétend, les chômeurs qui ont des problèmes de santé mentale, des problèmes de dépendance ou d'assuétude notamment aux drogues ou dans le cas de chômeurs étant socio-culturellement tellement en retard sur le plan éducatif  qu'ils ne sont pas immédiatement employables, mais quand le seront-ils en leur facilitant le chômage à vie... ?

La ministre Milquet considère que pour les sortir du processus très souple d'activation classique par les offices régionaux comme le Forem, Actiris ou le VDAB, elle suggère de leur donner le temps et un accompagnement plus en phase avec leurs besoins, les écarter un petit peu d'un parcours qui n'était pas fait pour eux car trop contraignant vis-à-vis des employeurs .

JoëlleMilquet estime qu'ils n'ont pas eu assez de temps pour suivre une scolarité normale et appliquée au-delà du temps scolaire, ni durant des périodes de chômage assez longues pour certains jeunes (parfois près d'une dizaine d'années sans résultat)néanmoins ayant parfois suivi plusieurs formations pas toujours abouties par manque d'intérêt ou de détermination, suivant quelque fois de mauvaises déterminations de projet professionnel ou  sans retombée d'emploi à l'issue des formations (alors il faut remettre en question le bien fondé des formations qui ne servent à rien faute d'emplois suffisants).

La ministre Milquet ne fait que jeter un écran de fumée sur le chômage qui s'accroît continuellement avec des propositions d'accompagnement qui ne sont nullement à la hauteur des défis et des enjeux des possibilités économiques à pouvoir !