On y rencontre toutes sortes de gens, des sadhus en quantité bien sûr et des drôles de guru comme ce Babaji hier soir avec ses centaines de malas, colliers divers, (peut-être en avait-il 108 chiffre sacré ?) et fausse peau de bête enroulée autour de la taille, le corps blanchi de cendres ; En tout cas il y avait de l'ambiance pour sa puja devant le Gange, hauts-parleurs à fond alors que quelques mètres plus bas, un brasier funéraire profitait de la cadence...

D'autres sont plus discrets et passeraient presque pour morts, alors qu'ils terminent leur nuit tranquillement sous les couvertures... Quand c'est sur le toit de leur terrasse, cela fait moins d'impression !

