Vive le printemps !
Et on commence avec celui des poétesses. Et un poème d’Emily Dickinson.
The springtime’s pallid landscape
Will glow like bright bouquet,
Though drifted deep in parian
The village lies to-day.
The lilacs, bending many a year,
The bees will not forget the time
The rose will redden in the bog,
Tentative de traduction (je ne possède pas encore le livre qui me fait saliver).
Le pâle paysage de printemps
Va briller comme un bouquet étincelant
Bien que dérivant dans le profond marbre jaune
Le village repose aujourd’hui.
Les lilas, se penchant plusieurs fois par an,
Se suspendront de poids pourpres ;
Les abeilles n’oublieront pas l’heure
Où leurs vieux ancêtres chantaient.
La rose va rougir dans la tourbière,
L’aster sur la colline
Sa scène éternellement à la mode,
Et les gentianes souscrivent au contrat pour leurs volants,
Jusqu’à ce que l’été déplie leur miracle
Comme les femmes arrangent leurs robes,
Ou comme les prêtres ajustent les symboles
Quand le sacrement est fait.