Discussion avec un avocat fiscaliste très occupé d’acquisitions : les entreprises sont riches et s’achètent les unes les autres.
Je venais juste de voir un article qui disait : « Beaucoup d’entreprises sont sorties de la crise avec des niveaux record de liquidités, cependant elles voient peu de possibilités de croissance interne ». D’où dividendes, croissance externe ou achat de leurs propres actions…
Victoire de la gestion financière ? Les entreprises ne créent plus : elles licencient quand ça va mal, et inquiètes du peu de dynamisme d’un marché au chômage, dépensent leur argent en usages improductifs, ensuite ? Cercle vicieux ?