Stéphane Guillon a ranimé la flamme bien affaiblie de la liberté d'expression, du vitriol et de la caricature.
Une gueule de bois, voilà ce qu'a dû avoir ce matin la droite suite aux élections régionales où la Gauche a accentué sa domination sur la Droite malgré une participation historiquement faible.
L'animation du jour est venue de la Maison Ronde, haut lieu de l'Audiovisuel public avec la radio France Inter qui laisse s'exprimer chaque matin un des derniers chansonniers médiatiques : Stéphane Guillon. L'humouriste qui brancarde dans un papier complètement subjecif le ministre de l'immigration Eric Besson, ex-socialiste.
Le faisant passé pour le sauveur du FN, Stéphane Guillon, à quelques minutes del'entrée d'Eric Besson dans le studio de la radio, assène un coup de plus à celui qui est considéré aujourd'hui comme le maître du débat de l'identité nationale, et qui s'est déplacé vers des "frontières" qu'il n'aurait pas dû atteindre.
Le plus grave dans tout ça : Les excuses malvenues de France Inter, qui parle plutôt des remarques physiques plutôt que politique.
On aime quand la liberté d'expression a pour limite Dieudonné, mais pas Guillon dans cette chronique à savourer :
Le Pen, Besson et Zemmour !
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