Cependant, Markus Dohle, le DG de la maison n'exclut pas de parvenir à trouver un terrain d'entente. Tout en gardant une certaine prudence, estimant que cette mutation pourrait éroder les pratiques établies dans l'édition jusqu'à lors.Pour le moment, les librairies, en ligne ou non, achètent des stocks à prix réduit et les revendent ensuite aux lecteurs, avec bonheur et joie. Sauf que le modèle d'agence, c'est une toute nouvelle approche : Apple n'achète rien, il ne fait que proposer une plateforme de vente, pour laquelle il prend une commission de 30 % et laisse le reste à l'éditeur.
Pour Makus, l'iBookstore va instaurer une autre révolution : celle du commerce du livre. Et forcément, ça ne va pas se faire sans quelques coups de griffes.
Allons, faut pas s'inquiéter... Ça va bien se passer.
Parole de dentiste...
