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Generation Z, Emos ou Echo-Boomers

Publié le 25 mars 2010 par Generationy20

De retour du Royaume-Uni ou l’intérêt pour les différences culturelles sont en train de se tourner vers la nouvelle génération culturelle que les responsables marketing appellent les Emos, les sociologues les Echo-Boomers et les journalistes les “Z” pour continuer la coutume d’appeler les gens par des lettres.

“Emo” pour Emotionel bien sur.
Cette nouvelle culture qui se précise depuis quelques mois The last couple of years have seen this group go from mar- ginal to proto-mainstream – they have, at the very least, gained much wider cultural currency. Bands like Fall Out Boy and My Chemical Romance have also provided a chart presence and publications like the NME have given emo music a massive boost. But first, the basics: emo is short for ‘emotional’. On a less positive note, they have been linked with self-harming and suicide by the more right-wing media of late, but this attention only heightens their popularity among youths who want to belong to a ‘sub’ culture.
You’ll see Emos everywhere: they’re the kids with dyed black hair and a long fringe which serves as a barrier between them and the cruel outside world, often wearing super-tight black jeans teamed with kiddiecentric cartoons, checkerboard patterns and skulls. This sub- group, which branches off from Moshers and Goths is wilfully unflamboyant (depite the cartoons and the checkerboards). While a Tribe in its own right, ‘emo’ is used less discriminatingly as a term of ridicule by others. Emo kids are on the receiving end of abuse not only from Townies but also from Moshers and Indie Kids. Along with Chavs, Emos attract the most bile from their fellow youths. But much like Chavs, that’s become part of the appeal…

Un de vos managers vous dit, sur 20

Ils sont moins orientés que la génération Y mais qui ont des opinions et suggestions ne tiennent pas bien. Les psychologues ont remarqué un changement de comportement radical de la génération Y à la génération de Z. Pour la génération Y, l’accent a toujours été professionnelle et des études alors que la génération Z ne croit pas à la carrière et les études formelles soit. Leurs vies peuvent manque de communication et de ce manque de communication mai ne pas être très efficace pour mettre en place par les générations futures. Aussi au moment où la génération de Z commence à travailler il pourrait y avoir une grave pénurie de professionnels comme les médecins et les scientifiques. En outre, de telles professions mai pas une valeur pour la génération Z.

D’un point de vue mercantile, ils se détachent aussi de la culture Y par leur non recherche de collection, ils ne cherchent pas à collectionner les amis facebook pour développer leur popularité, ils comprennent que la musique ne leur appartient pas (spotify ou deezer), Culture de la mobilité ou portabilité poussé à l’extrême et rendu possible par l’explosion du 4eme écran (l’iphone qui a remplacé l’ipod dans son rôle de 4eme écran

Et ne tombez pas dans le panneau de croire que les Emos ne sont pas encore sur le lieu de travail car ils n’ont pas l’âge, leur culture devance leur groupe démographique comme la culture Y dans l’informatique dans les années 90.

Les décrypteurs de tendances sont déjà aux aguets pour tâcher de cerner les profils des nouveaux arrivants. L’objectif est toujours de découvrir des caractéristiques inédites à la génération suivante.

Pour l’instant, la génération Z ne travaille pas encore. La législation française ne le permet pas, sauf pour quelques jobs d’appoint, puisque cette génération regroupe les personnes nées après 1995 (ou après 2001, selon les analyses). Les responsables RH et les managers ont donc encore un peu de répit devant eux… Mais ce n’est pas le cas de leurs collègues du marketing, qui suivent déjà ces jeunes pousses de près.
Pour l’instant, les informations disponibles sur la génération Z restent éparses et ne forment pas forcément un ensemble cohérent. Certains utilisent l’appellation « génération Z » pour désigner les accros aux technologies, mais n’oublions pas que la génération Y a déjà été décrite de la même manière. A la différence près que les jeunes Z sont des « digital natives ». Certains soulignent que les moins de 15 ans grandissent dans un monde marqué par les attentats du 11 septembre 2001 et une crise économique majeure, ce qui permet de comparer cette génération à celle qui a grandi pendant la grande dépression des années 1930 (ce qui rejoint le modèle proposé par Strauss et Howe dans un ouvrage paru en 1991). En surfant un peu sur le web, on peut même trouver des articles selon lesquels le marketing doit s’adapter à une génération Z désireuse de consommer plus éthique que ses aînés, et exprimant des valeurs teintées de conservatisme. Les jeunes Z, marqués par des temps instables et descendants directs de la « génération sacrifiée » (génération X), aspireraient à la sécurité et la stabilité.

La génération Z, futur eldorado des recruteurs? La génération Y, décriée parce que trop impatiente, zappeuse, instable et tournée vers le fun, n’aurait donc qu’à bien se tenir! Mais si les Y sont alors devenus managers, la génération Z s’intégrera-t-elle dans les entreprises?

Pour la génération Z, technologies informatiques et l’Internet est le lieu commun. Toutes les communications se font sur Internet et ils montrent très peu de compétences en communication verbale. La plupart de leurs années de formation sont dépensés sur le World Wide Web. Ils sont utilisés pour une action instantanée et de la satisfaction en raison de la technologie Internet.

Ils sont très impatients comme ils veulent des résultats immédiats. L’Internet est là et ils la prennent pour acquis. Ils ne considèrent pas qu’il est le plus grand outil pour l’humanité, comme elle l’a toujours été là pour eux. Leur moyen de communication est principalement par le biais de communautés en ligne comme Orkut, Google, et Face Book. Ils ne croient pas à la réunion en personne leurs amis et de développer les relations. Ils sont capables de faire d’énormes communautés et des collaborations ont massivement l’utilisation de l’Internet sans connaître quelqu’un personnellement. Ils mai ne pas très bien dans les domaines de parler en public et ce qui concerne la vie privée à la base. Ils considèrent mai vivant avec d’autres comme l’intrusion de l’espace.

Comme pour la recherche de cette génération peut être un ensemble de consommateurs. Être né à l’époque du boom du marché de consommation, ils ont accès à presque toutes les meilleures choses que l’on pourrait obtenir. Ils ont accès à presque tout comme les outils de communication, internet téléphones cellulaires, lecteurs MP3, iPods, et toute l’actualité des gadgets. Ils sont les enfants du monde moderne et sont aussi appelés la «génération numérique». Ils sont également de plus en plus dans un monde d’égalité et qu’ils croient les hommes et les femmes sont égaux.

Depuis, ils mènent la vie beaucoup plus structurée que l’un de leurs ancêtres, ils peuvent être des adultes responsables et aussi avec des valeurs sociales. Cette génération a adopté la technologie et elles sont très dépendantes du secteur. Ils sont plus enclins à le monde virtuel et sont moins susceptibles de prendre des mesures extrêmes comme le terrorisme. Si la génération Z est moulée correctement, ils peuvent faire beaucoup plus que les générations précédentes en utilisant les médias numériques. Mais, d’autre part, ils mai être pauvres avec les compétences interpersonnelles et, en outre, ils mai pas donner trop d’importance aux valeurs familiales. Ils sont très individualistes dans leurs caractéristiques.

Vous avez des emos si :
- pleurs
-


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