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La Maîtresse du Soleil, par Sandra GULLAND

Par Elianthe
La Maîtresse du Soleil, par Sandra GULLAND
RÉSUMÉ :Cavalière exceptionnelle, Louise de La Vallière (surnommée «Petite») est issue de la petite noblesse. Ses origines modestes et ses manières rustiques de garçon manqué ne l’empêcheront pourtant pas de charmer l’un des rois les plus célèbres de l’Histoire. Tout commence quand la toute jeune Louise tombe amoureuse d’un étalon blanc et fait appel à la magie pour l’apprivoiser. Cet acte extrême d’une fillette excentrique et passionnée la poursuivra comme une ombre tout au long d’une vie dont le cours sera transformé d’une façon aussi radicale qu’inimaginable. Immariable, trop pauvre pour entrer au couvent, Louise fait son entrée à la Cour comme fille d’honneur de la belle-sœur de Louis XIV. C’est là qu’elle conquiert – puis, à son immense désespoir, perd – le cœur du roi. Histoire d’amour attachante doublée d’un mystère captivant, La Maîtresse du Soleil met en lumière les extravagances et la décadence de la Cour du Roi Soleil tout en ressuscitant une personnalité féminine fascinante. Une fresque superbe qui illustre à la fois le pouvoir de l’amour absolu et les actes intrépides que nous sommes parfois amenés à commettre pour le saisir et le dompter.
MON APPRÉCIATION : Dans ce roman, Louise de la Vallière apparaît d'abord comme une petite fille attachante avec son côté garçon manqué, puis comme une jeune femme émouvante avec son amour authentique pour le Roi Soleil. On s’aperçoit que l’Histoire s’est montrée plus tendre envers Louise de La Vallière que le Roi Soleil lui-même, après qu’il eut cessé de l’aimer. Tout au long de ma lecture, j’en ai appris davantage sur la vie à la Cour du Roi Louis XIV et plus particulièrement sur le "métier" de dame d'honneur. C'était loin d'être une sinécure avec cette étiquette rigide qui régissait tous les aspects de la vie des courtisans. Seul petit bémol, le résumé parle d'un «mystère captivant» entourant le cheval de Louise (nommé Diablo), mais pour moi, ce «mystère captivant» tenait plus du pétard mouillé que du feu d’artifices! Somme toute, La Maîtresse du Soleil fut une lecture fort divertissante, surtout quand on aime l’Histoire comme moi! Éditions Hurtubise, 2009, 576 pages. 

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