Les pauvres chéris stressés, surchargés( de trousseaux de clés bruyants) et obéissants se répandent en jérémiades dans le Matin, une fois de plus complaisant et servile, avec l’appui de la sémillante Béatrice Mettraux, la délicieuse syndicaliste qui blâme une direction qu’elle juge « forte ».
De fait, qu’ils aient peur est une chose assez ridicule, mais il en est une autre qui est grave: ils font peur dans leur façon de travailler ou plutôt de ne pas intervenir.
Personne ne peut leur interdire valablement d’être intelligent et d’avoir un comportement humainement responsable. Sauf que chez eux la matière première manque singulièrement. Il semble que tel soit aussi le cas dans leur hiérachie, ça promet.