Un h de trop (suite 2)

Il y a peu, je m'interrogeais sur la raison du h dans le patronyme d'un politique.

L'épisode de l'étudiant en journalisme suivie de la tentative de justification sur blog ne fait que renforcer mon sentiment.

Ce que je retiens, ce que je pressentais, c'est que sous la façade humaniste craquelée, la haine a surgi, nature.

Ayant déjà eu du mal à lire en entier une diatribe navrante qui tente de noyer le poisson dans une loghorrée qui n'a rien à envier aux plus belles heures des discours de Fidel Castro et de Leonid Brejnev, je ne vais pas me lancer dans  une inutile exégèse.

Non, pas de temps à perdre, juste des mots simples pour expliquer mon ressenti : Je reconnais à M Mélenchon la capacité de réussir un prodige...
Celui de me faire apprécier de n'avoir que Nicolas Sarkozy à supporter...