Magazine
J'ai trop aimé la vie pour me perdre aujourd'hui,J'ai marché nonchalant comme un passant s'en lasse,Sans poser de questions ni rire d'insolence,Et tous bien cintrés dans des habits tout neufsAlpaguaient, piochant alors au tout venant,Voitures et jeunesse du quartier simplement,Car ils habitent là : c'est la leur maison ;Ils ont une famille, une mère inquiète,Un père qui travaille et qu'on voit peu souventTraiter la populace en simples ruminants !
