Magazine

Tout est

Publié le 10 avril 2010 par Xavier1

SOCIAL
L’Etat doit donner l’exemple

Charges exorbitantes
Le monde de l’entreprise marche quelque part sur la tête. Il est ici question des grandes entreprises qui recrutent pas spécialement vraiment  n’importe qui, mais le plus souvent n’importe comment et pour une durée déterminée. Les fameux CDD. La précarisation est entrée dans les mœurs des dirigeants et des travailleurs. Certaines entreprises ne peuvent pas faire autrement sans doute que de précariser l’emploi, mais toutes ne sont pas obligées de faire cela. L’éthique à disparue. Les salariés se retrouvent serrés les uns contre les autres au travail comme les poules élevées en batterie, afin de réduire les coûts de loyers en réduisant les surfaces. Il est aisé d’imaginer l’état de stress permanent des travailleurs.
Pire, vouloir réduire à tout prix les coûts à conduit à créer des entreprises à économie de pénurie alors qu’elles devraient être d’abondance.
Ce qui a conduit à des dérives aussi effrayantes, ce sont les charges sociales très lourdes ainsi que les taxes et les impôts qui ont été imposées au fil du temps aux entreprises par des politiciens à la recherche d‘un financement facile indirect mais efficace pour eux-mêmes. Celles qui en avaient la possibilité ont délocalisées pour éviter le pillage, les autres sont restées en fonctionnant tant bien que mal, ou ont fait faillite.
Mais tout de même, en augmentant la puissance de financement et du capital d’une entreprise, il possible d’améliorer la situation. Impossible d’expliquer cela à un banquier qui cherchera systématiquement dès qu’il recevra un projet à vouloir diminuer le financement. Le créateur ou l’entrepreneur se tournera vers des investisseurs, lesquels ne seront pas toujours de son côté et chercheront par tous les moyens en dépit des lois et des règlements à saigner l’entreprise et à la sucer comme des vampires jusqu’à ce qu’il n’y ait plus rien à boire.
Qu’on le veuille ou non, tout est social. Qu’il s’agisse du secteur privé comme du secteur public.  Surtout le secteur public. Certes une entreprise est destinée à enrichir considérablement son concepteur, mais pas en exploitant odieusement les salariés. Et très souvent, le patron qui n’en a que le nom est lui aussi exploité par ses actionnaires voraces et gloutons qui le sucent et le ponctionnent jusqu‘à la dernière goutte, il est traité comme un salarié.

Monnaie de singe

Le secteur bancaire joue avec notre argent, au point que l’on se demande si l’euro, ne serait pas par hasard devenu la monnaie des financiers et non une monnaie de l’Etat ou des Etats de l’Union.
Il sera certainement nécessaire de revenir au franc un jour, avant que l’euro ne s’écroule pour de bon ou n‘explose en vol. La France a besoin d’une monnaie stable qu’elle peut contrôler et qui lui appartiennent vraiment. Toute monnaie digne de ce nom possède un gouvernement. L’euro, quel gouvernement la contrôle? Aucun. En fait l’euro aurait du s’appeler le Deutsche Mark vu que la parité de ces deux monnaies sont similaires. Et il est très difficile même pour la France de s’aligner au niveau de cette monnaie. L’Allemagne étant un pays plutôt très productif par rapport au reste de l’Europe et à la France qui est le pays des RTT.
Lentement mais surement, nos politiciens en France, ont perdu tout pouvoir tout en s‘étant enrichit de façon immorale, à un tel point que faire de l‘argent facile à conduit pas mal de bouffons à se lancer dans des carrières politiques lucratives avec pour devises: un an de promesse et cinq ans pour les faire oublier.
Mais deux autres pouvoir sont en train de monter en flèche: le capitalisme sauvage et le crime organisé. Il serait temps d’avoir un chef politique sévèrement burné excusez l’expression, pour que le pays retrouve  son panache et sa puissance originelle et empêche les industriels de considérer la France comme un territoire de chasse. L’esprit patriotique des grands industriels à disparu.

Les cloches au bureau,

les cerveaux aux champs
Les pôles de l’intelligence ont été inversés dans l’entreprise. Les crétins et les débiles légers occupent des postes de bureau alors que les diplômés et sur diplômés  retournent à la charrue. C’est louche tout de même.
C’est certain que question recrutement, ce n’est pas encore ça dans le monde de l‘entreprise qui préfère recruter des gens n‘ayant aucune conscience juridique afin qu‘ils ne se révoltent pas. Bref, plus on est bête, mieux c’est sans doute dans le monde du travail en ville, les emplois de bureau.


Le social
En effet tout est social dans le monde du travail. L’Etat comme le privé doivent avoir constamment à l’esprit le fait suivant: les entreprises du public comme du privé ont pour mission et objectifs de faire en sorte que les richesses produites puissent servir tout le monde: c’est-à-dire que les jeunes puissent avoir une maison ou un appartement et une voiture, se marier jeunes et avoir des enfants jeunes,  les envoyer à l’école de la maternelle à l’université afin qu’ils deviennent médecins, avocats, ingénieurs, enseignants et faire tourner le monde à nouveau. Est-ce le cas présentement? Non, il y a de plus en plus de célibataires, de gens isolés qui élèvent leurs enfants seuls (foyers monoparentaux), de plus en plus de violence par absence de valeurs inculquées et cela ne fait qu’empirer. Parce que l’Etat et le privé sont devenus égoïstes, parce que l’esprit patriotique a disparu au profit de l’esprit diabolique de l’enrichissement au profit d’un petit nombre, l’ère de félicité du 3e millénaire à du plomb dans l’aile par la faute d’imbéciles heureux qui n’ont qu’un grelot  dans la boîte crânienne à la place d ’un cerveau et cela concerne tout autant les politiciens que les pseudos capitaines d‘industries.

Xavier  Jaffré

VAC  PRESSE

www.xavier-jaffre.info 2004-2010


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Xavier1 90 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte