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Le sosie de la semaine est...

Publié le 13 avril 2010 par Poclatelephage
Je regrette décidément de ne pas avoir pris le temps, il y a maintenant deux ans, d’entreprendre de réaliser des statistiques poussées sur « un dîner presque parfait ». J’aurais ainsi pu savoir quel était le jour qui profitait le plus aux candidats – je suis sûre que vous avez pensé au vendredi avant de vous raviser et de désigner le jeudi, puis le mercredi voire le lundi -, quel était la moyenne d’âge des gagnants et surtout j’aurais pu faire figurer sur une carte toutes les villes qui ont déjà participé à l’émission. Une chose est sûre, enfin quasiment certaine, Dijon, la ville mise à l’honneur par M6, en est au moins à sa deuxième participation, ce qui est assez énorme pour une cité de cette importance, et Toulouse n’a pas encore été assez sollicitée.
Le sosie de la semaine est...
J’en viens à l’essentiel : nos candidats de la semaine, car nous comptons un sosie non officiel, qui ne s’inclut pas dans une semaine événementielle, ni dans une blague de premier avril, car Muriel est le sosie presque parfait de Temperance « Bones » Brennan, qui aurait pris 20 kg et dix ans dans la vue.
Cette semaine semble donc être dédiée aux hommages aux séries « maison », puisqu’en plus de la ressemblance discutable de la dernière candidate de la semaine avec l’anthropologue judiciaire la plus sexy de la télévision, l’hôtesse du jour avait choisi d’axer son menu autour de « desperate housewives ». Nous nous sommes ainsi rendus compte que les dijonnais maîtrisaient le sujet et les allusions du menu à la fiction.
Au niveau du repas, je m’attendais évidemment à un résultat digne de Bree, mais malheureusement la confection du menu et les réactions des convives ont semblé indiquer que c’était plus Susan – je maîtrise aussi bien que les dijonnais mon sujet – qu’ils les avaient reçus.
Le sosie de la semaine est...
Isabelle avait tout misé pour sa déco sur les pommes, mais comme l’a souligné une invitée, « desperate housewives » ne se résume pas aux fruits du générique. Pour la cuisine, entre les haricots « verts, verts », comprendre assez peu cuits apparemment, le potage au basilic agrémenté de chantilly et les carottes pas assaisonnées, le tout entrecoupé de très longues pauses durant lesquelles la cuisinière s’attaquait « minute » à la confection de ses plats, les mets n’ont pas vraiment contentés les candidats. Quant à l’animation, je l’ai trouvée apparemment aussi cryptique que les dijonnais qui ont été invités à un moment à mettre un tablier, qu’ils ont quitté assez vite, pour participer à un quizz sur la série.
La pauvre Isabelle, qui pensait mériter un énorme 6,5/10 a décroché un honorable 5,5/10.
[Inutile de vous repréciser que ce soir, c'est Pékin Express, que je ne visionnerai que demain pour cause de Docteur House, j'imagine...]
[Edit de 20h15 : Qui se souvient, sans tricher, de l'identité, enfin du moins des caractéristiques des vainqueurs de l'an dernier de Pékin Express ? Toute téléphage que je suis, j'ai du réfléchir quelques minutes avant de les resituer, alors que je me souviens de Cédric et de son père ou des cousines marseillaises...]

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