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L'ouverture sociale : une préocupation européenne

Publié le 18 avril 2010 par Cdefi

Ainsi, au Royaume Uni, une récente  étude de l'HESA (Higher education statistics agency) révèle que universités les plus prestigieuses admettent encore peu d'étudiants issus de milieux défavorisés, en dépit de tentatives répétées pour accueillir une plus grande diversité d'étudiants. L'enquête se base sur le taux d'inscription de jeunes venus de quartiers dits « défavorisés ». Dans 20 universités prestigieuses axées sur la recherche, ces jeunes ne représentent que 5 % des effectifs. Des universités comme Oxford et Cambridge accueillent en premier cycle 2,7 % (soit 75 étudiants sur un effectif total de 2 875) et 3,7 % (soit 105 sur 2 930) d'étudiants de milieux défavorisés, respectivement.


En moyenne, 10 % des étudiants du Royaume-Uni proviennent de quartiers défavorisés . Ce taux a l

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égèrement augmenté, il était en effet de 9,7 % en 2006-2007 Les chiffres de l'HESA révèlent également qu'un dixième de ces étudiants quittent l'université après la première année. Le nombre d'abandons en fin de première année est un indicateur d'échec des politiques d'ouverture. Par ailleurs, la majorité d'universités échouent dans les objectifs qui se sont elles-mêmes fixés sur le taux d'accueil d'étudiants provenant de l'enseignement secondaire public

Vous pouvez lire l'intégralité de l'étude de l'HESA.


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