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Principe de précaution ou précautions à prendre avec les principes?!

Publié le 21 avril 2010 par Lopirolon

Saint du jour : Saint Anselme

Contrepèteries : Alors que le jeune séminariste rêve de se voir en curé avec une calotte.

Tu ne peux pas te passer de vaccins dans les régions ou tu es.

Reculez-vous sous mon hangar.

Napoléon a cassé le vase de Joséphine sans Pauline.

Dicton Français : Le nationalisme est une maladie infantile. C’est la rougeole de l’humanité. (Einstein)

Dicton Juif : Celui qui se tait le premier dans une dispute, est digne de louange.

Dicton Africain : Si un pays veut se construire, qu’il repose sur la culture.

Dicton Occitan : Qual revelha lo canh que se dormis, se lo canh lo mossega; lo canh a pas tòrt. Celui qui réveille le chien qui dort, si le chien le mord; le chien n'a pas tort.

Proverbe Chinois : Le plus beau lendemain ne nous rend pas la veille.

Principe de précaution ou précautions à prendre avec les principes ?!

Peut-on être contre le principe de précaution ? Je ne le crois pas. Il y a eu assez de cas auparavant, ou ce principe de précautions n’avait pas été respecté et tout le monde a râlé, moi le premier. Alors soyons heureux que ces temps-ci, nos gouvernements soient plus prudents.

Mais à prendre des précautions, peut-être ne faut-il pas en prendre trop, être trop prudent. Et peut-être faudrait-il avoir des données chiffrées avant de prendre des décisions unilatérales.

Est-il normal de fermer les aéroports immédiatement dès le 15 Avril et réunir une cellule de crise seulement deux jours plus tard. Est-il normal de fermer les aéroports et ne démarrer les analyses que deux jours plus tard également. Est-il normal de réunir une cellule de crise alors que les chiffres ne sont pas encore connus et donc de prendre des décisions sans avoir une vue complète des problèmes à résoudre ? Ce sont là, je crois les bonnes questions.

Comme dans le cas de la grippe AH1N1, on n’a pas su prendre les bonnes décisions au bon moment car n’ayant pas toutes les billes en mains. Une fois de plus le retard à l’allumage du gouvernement Sarkozo-Fillonesque a mené à des décisions démesurées. Mais nous avons la consolation, cette fois-ci de ne pas être les seuls à être dans la démesure.

Il me semble que dans un cas comme celui que nous venons de vivre (et qui n’est pas terminé), une décision immédiate s’imposait, faire arrêter la grève de la SNCF afin que soit respecté le principe d’égalité et de fraternité. Il est un fait indéniable, les syndicats français se conduisent comme des voyous, sans aucun respect de l’égalité et des Droits de l’ensemble des citoyens Français.

Gouvernement, élus et syndicats, à mettre dans le même panier de l’incompétence et du chacun pour soi.


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