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Alençon-Biarritz en train, un parfum d’aventure !

Publié le 22 avril 2010 par Harry1 @vihidope
Alençon-Biarritz en train, un parfum d’aventure !

Les voyages ferroviaires entre Alençon et Biarritz ont bien souvent un parfum d’aventure. C’est le moins qu’on puisse dire !

Dès l’embarquement, je me sens l’âme d’un Philéas Fogg. Qui transporterait des camamberts et non 20 000 livres sterling. Songez, pratiquement 7 heures de trajet en train Corail intercités puis en TGV.

Départ de la cité des Ducs, dans un antique et interminable paquebot du fer, mon « Saint Pierre-des-Cors Express » à moi. Toujours à 9h44 !

Départ du TGV à 11h49, arrivée à Bordeaux Saint-Jean à 14h19 pour prendre un autre TGV direction Biarritz. Il n’y a pas d’erreur, j’ai bien droit à une belle rupture de charge à Bordeaux.

Et me voilà courant dans toute la gare armée de mes bagages et de mes camemberts qui commencent à exhaler leurs saveurs fauves (en depit du bloc froid habilement glissé dans ma glacière) !

Lorsque tout se déroule bien, j’arrive à Biarritz, épuisée, à 17H30. Mais il se peut que le train fasse un arrêt imprevu à Morcenx (les pauvres camemberts souffrent et les passagers en profitent…) et que nous soyons convoyés par bus jusqu’à Dax pour reprendre un TGV. (Vous devinez le terrible destin de mes pauvres fromages !)

Les traversées d’Ouest en Ouest ne sont jamais de tout repos ! Pour ces savoureux et inimitables camemberts que ma famille attend avec impatience, pitié, messieurs, mesdames de la SNCF, je compte sur vous. Construisez vite vite la LGV entre Tours et Bordeaux.

En attendant 2016, ce serait magninifique si le TGV en provenance de Paris-Montparnasse et pris à Saint Pierre puise nous emporter, mes camemberts et moi jusqu’à Biarritz !

Pensez aux passagers des TGV 8535 puis 8542 et surtout, à ces délicieuses pâtes fleuries qui vous diront merci !



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