En citant ainsi une phrase de celui que j'appelle "maître", j'ai nommé @Speed, je viens porter le sac et la valise de celui qui, d'une façon ou d'une autre, a changé la façon de concevoir le Toli et qui a permis à certains d'entre nous d'embrasser un style bien particulier, un style humoristique dans un camfranglais agréable à lire. Certes, les académiciens de la langue française se retourneraient à lire ce français mêlé d'expressions purement "camers" ; n'en déplaise à Ndogkoti qui se veut un "grosmologiste" ambulant (excusez-moi pour le terme non existant dans un dictionnaire non tolitique). Si je me rappelle mes cours de littérature du second cycle que je n'ai pas dribblé, du coin de l'œil, quand je ne dormais pas il me souvient que le prof un jour a lancé : " Il n'y a de beau que ce qui ne sert à rien, tout ce qui est utile est laid." Certes, c'est dans un francais débridé et "tropicalisé" que s'exprime l'un des pionniers si ce n'est le pionnier de la chose humoristique sur le Toli, mais ce style a l'avantage de véhiculer des messages pertinents, tout en étant agréable à lire. Toucher les consciences en riant. On préfère cela au français directement hérité de Voltaire et de Molière, mais qui ne nous raconte que les frasques d'un éditorialiste et de sa conjointe virtuelle.
Heureusement, cet éditorialiste reste un fervent gardien d'un des secrets les mieux gardés des sportifs et principalement des footballeurs camerounais :"le hemlé". Pour faire bonne mesure, il est paradoxalement le seul à considérer Otto Pfister comme le plus grand tacticien que les Lions aient connu.
De toutes les façons, il est écrit quelque part : "il faut de tout pour faire un monde." J'ajouterai pour conclure qu'il faut de toutes les folies pour nous donner un bon Toli.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble