Extrait d’un courrier de Philippe Galy, auditeur de RFI, à la médiatrice, après que celle-ci a répondu à son premier courrier :
[V]os journalistes s’estiment en droit d’utiliser ce moyen financé par l’État comme leur outil personnel pour les propagandes partiales qu’ils veulent servir, en-dehors de toute hiérarchie, de toute appréciation extérieure, et n’accordent plus à l’État que le droit que de les payer.