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mille bouffons

Par Plouf

J’ai croisé cette nuit, je t’ai vu à ma fenêtre

Pourquoi ne pas ouvrir, un air de mal être

Eclairant un visage, beau et si attirant,

La lune fut grandiose et en mille façons !

Je n’ai rien fait de plus, juste un éclat de rire

Sur ces riches bouffons et leurs sombres chemises ;

Mais déranger le temps, le suivre sans raison

Comme si peinte à l’huile cette lueur pourpre,

Que l’on vit un instant de notre imaginaire

Ce grand trophée illuminé dans la grande clarté,

Mis à l’abri du vent devait nous emporter !

J’ai voulu mille terres pour arrêter le temps

Et pour ce millénaire ne plus couler le sang !


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