Mercredi dernier, je prenais le TGV à Lille : direction le Futuroscope de Poitiers pour participer à la 15ème édition du Forum international de développement des entreprises.
Il s'agissait de ma première participation mais de la seconde de mon entreprise après Québec en 2008.
Dès le trajet aller, les membres de la délégation wallonne ( 47 personnes ) faisaient connaissance et échangeaient leurs cartes de visite. Un courant de sympathie s'est très vite installé et a été entretenu tout au long du séjour. La preuve en est que nous avons été nombreux à faire la promotion des entreprises wallonnes qui nous accompagnaient auprès des sociétés étrangères rencontrées. Et je suis persuadé que nous continuerons à jouer ce rôle d'ambassadeur auprès de nos relations d'affaire tellement les contacts furent intéressants et chaleureux.
Tout cela sans négliger le but premier de notre déplacement : les rencontres programmées avec une quinzaine d'entreprises parmi les 447 venues de 23 pays ainsi que les informelles au gré des pauses café, repas ou dégustation de produits locaux. Pour ma part, j'avais sollicité des rencontres avec des entreprises françaises spécialisées dans le domaine de la communication, dans la traduction ou le film d'entreprise et ai été demandé par des sociétés françaises et canadiennes voulant promouvoir leur savoir faire dans le domaine de la création de sites Internet ou l'intégration de 3D dans des sites Web. Beaucoup de contacts intéressants que je vais m'efforcer de faire déboucher sur du concret dans les jours qui viennent.
Un grand bravo à l'organisation sur place ainsi qu'à la préparatoire et accompagnatrice d'Hainaut Développement. C'était un timing speedé mais parfait.
Il ne reste plus qu'à se replonger dans le travail en attendant le débriefing du 4 juin qui se terminera certainement par la projection des photos prises sur place, le titre de meilleur paparazzi revenant sans discussion à Caroline. Je crains d'ailleurs déjà ( et ne devrait pas être le seul ) le bêtisier de cette édition.
Et qui sait, si le business généré par ce Futurallia poitevin se révèle à la hauteur de nos attentes, peut-être nous retrouverons-nous en 2011 à Kansas City ?