L'épouvante de ce Village des damnés est subtile. Elle réside dans les silences, une atmosphère très mystérieuse d'apparente douceur de vivre [...].
Jacques Morice, dans le Télérama n°3016 du 31 octobre 2007, au sujet du Village des damnés de John Carpenter
Ah, tiens, silence et douceur de vivre iraient donc de pair ?
Etonnant, non ?