« La Grèce, c’est une copie de la France, en pire, car nous n’avons même pas d’industries manufacturières, résume M. Massourakis. Des lois pour tout, des avantages inouïs consentis aux salariés du secteur public, des minorités syndicales capables de prendre en otage les monopoles d’État dans les transports, une fonction publique hypertrophiée… Ce système, que finançait un endettement toujours plus lourd, ne marche plus. »