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J'ai fui mes souvenirs comme à mon avenir,
Préférer le purin aux briques imparfaites,
Celles que l'on pétrit petites maisonnettes,
Où la joie et la vie, redondants sur mon cœur,
Firent me retirer devant tant de rancœur !
Je n'ai plus souvenirs de ces gateaux princiers,
Au détour e fêtes aux rires filigranes !
Tout m'est ainsi perdu comme grands sacrifices,
Je n'ai peur de rien, sauf qu'ils me haïssent !
Alors tout un chacun je me fais doux et tendre,
Comme à l'accoutumé, et nous pleurons ensemble,
D'histoires guillerettes, comme un bel été,
De ces bibliothèques, la rose puis la verte,
Et le club des cinq, ou bien le clan des sept ;
Avec le tondu, le rhône marionnette :
Mes héros invaincus et je suis à la fête,
De ces humbles sujets au festin grandiose.
Et là j'entends tout prés une musique ose,
Et là je tressaillis de ces larmes surfaites,
Je n'ai jamais trahi, mais qui le croit peut être
Mais qui me croit peut etre….