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Publié le 05 novembre 2006 par Raymond Viger

Posted on by Raymond Viger

La violence envers les femmes Jean-Pierre Gagnon, chercheur pour l'organisme L'après-Rupture (liens pères-enfants)

Dans le dernier numéro de février, M. St-Pierre aborde le problème de la violence faite aux femmes. Il est faux de dire qu'il y a 300 000 femmes violentées au Québec. Plusieurs organismes à vocation féminine ont propagé ce chiffre dans le but d'empocher des millions en subvention. Actuellement, sur le site Internet de la Fédération des femmes du Québec, on peut lire que 25% des Québécoises sont victimes de violence, faisant du conjoint l'individu le plus violent de la planète. Or, la Fédération est incapable de prouver ses chiffres.

Quand on prend le temps d'analyser comment sont construites les statistiques concernant la violence faite aux femmes comme le fait le Collectif masculin contre le sexisme, on se rend compte qu'il y a tripotage de chiffres. Ainsi, est mis sur le même pied le fait de claquer une porte après une querelle et celui de démolir la mâchoire d'une conjointe. Selon le Children Council, la majorité des actes de violence à l'endroit des enfants concerne les mères! Même chose pour les enlèvements parentaux. Sujets tabous par excellence que nos féministes grassement subventionnées n'aborderont jamais.

Certains groupes de femmes ont des intérêts financiers à dramatiser le phénomène de la violence en élargissant tellement la notion que le moindre geste, la moindre parole deviennent suspectes. Ces groupes évitent de se référer à des recherches scientifiques objectives comme, par exemple, celle de M. Denis Laroche de l'Institut de la statistique du Québec ou des chercheurs de l'Institut Pinel qui ont publié les résultats d'années de recherche concernant la violence des femmes dans la Revue québécoise de psychologie (vol 22 no 3, 2001).

Victimiser à outrance les femmes et le tripotage des statistiques concernant la violence sont devenus une industrie fort lucrative pour plusieurs groupes féministes influents. C'est une subtile propagande qui coûte cher aux contribuables déjà lourdement taxés.

Textes sur la famille.

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journaldelarueChantal Lee a vécu la violence physique, les abus sexuels et l'enfer de la drogue, mais elle en a triomphé. Malgré la maladie qui l'afflige, elle partage par sa poésie son amour de la vie et son optimisme à toute épreuve. Un livre rayonnant, à l'image de son auteure.

Le livre est disponible au coût de 10,00$.
Par téléphone: (514) 256-9000, en région: 1-877-256-9009
Par Internet: http://www.editionstnt.com/Livres.html Par la poste: Reflet de Société 4233 Ste-Catherine Est Montréal, Qc. H1V 1X4.

Filed under: famille, société, Uncategorized Tagué: | Children Council, famille, femme, groupe de femmes, Institut de la statistique du Québec, Institut Pinel, Jean-Pierre Gagnon, organisme l'après-rupture, Revue québécoise de Psychologie, tabous, victimiser, violence, violence faite aux femmes


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