Coup de tonnerre

Le coup de tonnerre, fin comme une lame, Tranchante, perçante, sur ma fesse droite, Pourquoi mes mains moites ? Mes membres sont secs, dix secondes à peine, Tout à la normale, J'ai souri tout ce temps de ma vie, Ce temps où j'ai senti, (ça me reprend ici) Encore plus fort, le haute de la fesse, J'évacue mon stress, Une vraie marmite, peu de marmitons, Les piles en glaçons ? ON DIRAIT Un NON ! Fais- moi apparaitre, tes leçons de vie, Dis moi de l'ennui quelle est son envie ; Là tout m'exaspère, je perds les repères ! Mieux resté assis, plus bouger ainsi, Le mal se glace, sous ma carapace, J'ai noyé ces bruits, qui gâchent ma vie ! Juste un effort, je dirais encore, Mais pourquoi dit on, tout le mal ici, Sur ces lettres- ci, je t'aurais menti ? O Toi mon angoisse, fais donc que ça passe, Les fleurs sont jolies, le tableau aussi !