Christophe Jallet achève simplement sa 1ère année parisienne. Il a encore peur des colères de papa. L’ancien lorientais qui a vu Bazin virer tout rouge raconte : «J’ai vu à son visage qu’il n’était pas content. C’est plutôt logique, ça se comprend. On ne le voit pas forcément souvent et peut-être que ça aurait dû arriver plus souvent dans la saison. Ça nous remet dans le droit chemin pour les deux matches qui restent.»
La saison prochaine, il ne le remarquera même plus.