Magazine Voyages
Les beaux jours sont de retour. Et comme on n'est jamais content à Moscou, il faut bien avouer qu'il faut affronter un nouveau fléau: la poussière. La ville enfin asséchée devient sale, mais alors vraiment sale. On y verrait pas une mini-jupe à 100 mètres. Et la pollution n'arrange rien.Du coup, les premières victimes de ce fléau printanier, ce sont les voitures. Elles deviennent vraiment dégueulasses très vite et ça n'a pas l'air de déranger les propriétaires. En même temps, à ce rythme là, tu peux aller à l'Eléphant Bleu tous les jours. Alors certains business sont contents de motiver un peu la gente masculine. En même temps, tout le monde sait que c'est un peu de la publicité mensongère. Quoique.
(Photos: Dirrty Frank, à pied, c'est quand même moins excitant)