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Drame autour du livre de Ky-Many Marley

Publié le 11 mai 2010 par Sitalaure
Drame autour du livre de Ky-Many MarleyLe 10 ème fils sur 11 enfants ( selon le site Marley) du légendaire Bob Marley, Ky-Mani Marley a récemment sorti un livre, aidé d'un ghost-writer pour l'écriture de ses mémoires . Marley ne serait pas en accord avec l'éditeur de son livre, Farrah Gray qui aurait ajouté la phrase choc "The story The Marley Family doesn't want you to know" à ce livre qui dévoile une vie bien sombre de l'un des enfants du père du reggae. Ky-Mani fils d'Anita Belnavi une joueuse de ping-pong (la plupart des enfants Marley sont nés de mères différentes) n'aurait autorisé aucun changement dans l'écriture de ce livre qu'il aurait initialement titré ""Dear Dad: The Marley Son Who Persevered From The Streets To Prominence." mais l'éditeur assure n'avoir rien changer de l'histoire de celui qui déclare avoir grandi dans la pauvreté de la Jamaïque puis finit par vendre du crack dans les rues de Miami avant qu'il ne déménage avec sa mère pour le Sud de Miami où il retourna à l'école.Il aurait commencé l'écriture du livre après la mort de son père en 1981, et n'y tarirait pas d'éloges sur la famille Marley et sa matriarche Rita Marley qui selon lui déclara lorsque son père décéda "qu'il était venu le temps pour toutes les mères et leurs bâtards de souffrir" et il vint.
Drame autour du livre de Ky-Many MarleyIl raconte que cela importait peu que son père soit Bob Marley alors qu'il souffrait en Amérique, il écrit après ses 18 ans qu'il du choisir entre faire parti de la famille Marley pour toucher son héritage où le perdre. L'Empire Marley qui s'élèvera d'ici 2012 selon Forbes à 1 milliard de revenu annuel aurait toujours été l'objet de discordes familiales. Mais malgré la peine, il reste l'amour déclare Ky-Mani dans son livre et il aime sa famille Marley.L'éditeur avoue avoir publier ce livre (dont il détient encore de nombreux enregistrements de Ky-Mani) pour que l'instinct de survie et l'énergie de Ky-Mani puissent inspirer les jeunes. "Il est peut être né avec le nom, mais cela ne lui a pas garantie de privilèges", continue l'éditeur et "malgré cela il a survécu et continue à alimenter l' héritage".

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