Où l’on pleure

Bonjour les flans,
Ah la fac. Un condensé d’émotions : du rire, des frayeurs, des énervements, des sanglots longs des vi-olons…
Ah, le moment qu’on attendait depuis plusieurs mois : la publication du planning des examens.
Alors tu vois, il y a les gens un peu old school comme moi qui ont un Quo Vadis. Il y a les gens plus modernes qui gèrent leur agenda sur Google , Ical, Outlook, Lotus et autres Moltonel. Et il y a le petit village gaulois : Paris 3.
A Paris 3, le temps n’a pas la même valeur que dans le reste de l’univers. Tu enchaînes les examens de civilisation des deux semestres, deux heures chacun. Ca donne un créneau 14h-18h bloqué. Mais à Paris 3, tu arrives quand même à caler l’examen d’option de civilisation à 17h30.
Le premier jour, j’ai un examen d’option à 17h30. C’est pas comme si j’avais des billets pour la Bayadère à 19h30 le même soir, hein. HEIN.
Deux jours après, soit le samedi, j’ai trois examens. Heureusement que je n’ai pas pris mes places pour la finale du Top 14.
Et les deux derniers jours, on enchaîne 6 examens, sans compter les oraux qu’on est censés passer directement après. Mais quand, c'est la petite surprise du chef !
Ca catapulte ce programme, quand même.
Moi, c’est la secrétaire que je vais catapulter.