C'est l'été, donnons l'exemple, protégeons la planète...

Je suis super déçu, parce que j'aurais préféré shooter la crevette équatorienne à 5,90€ le kilo, passée avant-hier. Mais avec la paëlla, c'est pas mal non plus, hein ? Ceux d'entre vous ayant passé quelques moments de villégiature bien mérités sur les plages de notre magnifique littoral (ici, c'est dans le Morbihan, Bretagne Sud) depuis des décennies ne peuvent avoir échappé à ces campagnes publicitaires aériennes. Elles ont baignées mon enfance passée tous les étés sur le sable chaud et blanc de ces endroits magiques et préservés (enfin, entre 2 marées noires, mais dans ce coin, si on a pas trop de pétroliers qui croisent au large, on a des grands groupes industriels qui projettent néanmoins de massacrer ce patrimoine que Dame Nature nous a laissé, merci Monsieur Lafarge). Mais bon, mon enfance, c'était il y a une bonne trentaine d'années bien tassée, et aujourd'hui, à l'ère du search marketing via les régies publicitaires de Google, Yahoo et autres comparateurs (allez, j'en profite pour faire un peu de pub à INAKIS... ;-)), ce type de campagne semble d'un autre monde et complètement dépassée.