Merz dormait dans sa yourte de luxe depuis des semaines pour éviter de raconter des conneries et voici qu’il reprend la parole en passant évidemment par le Sonntagsblick, passage obligé institutionnel de sa communication de misère.
Au fait, ça lui sert à quoi son service de presse officiel s’il ne l’utilise pas. Le petit monsieur « met en garde » et rappelle ce que tout le monde sait depuis lontemps : « L’administration américaine nous a signifié que les plaintes contre l’UBS, actuellement suspendues, reprendraient » en cas de refus de l’accord UBS par le Parlement.
Mais justement, il faut qu’elles reprennent de plus belle pour qu’enfin certains dirigeants soient atteints au portemnonnaie, notamment.
La position de la coalition PBD, PLR et PDC est insoutenable, autant que les arguties de Merz. Que l’UBS crache et surtout que le Conseil fédéral cesse de s’en mêler.
C’est une affaire privée pour laquelle le contribuable a déjà assez donné contre son gré. Et de toutes façons, dans sa forme actuelle, l’UBS a vécu, alors…
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